institut Pierre Delbet
Son objectif est de permettre une augmentation significative de l’espérance de vie en bonne santé des populations Africaines.
Ce projet ambitieux repose sur une notion fondamentale.
La compétence cellulaire
La santé est une technologie cellulaire caractérisée par la capacité de chaque cellule d’un organisme, en coordination avec les autres cellules, en réseau et en temps réel, à assurer un pourcentage élevé des opérations biochimiques dont elle a la charge.
Quand cette technologie fonctionne correctement, elle génère un bien-être physique, mental et social, et assure une prévention efficace des maladies.
Prévenir les maladies
La santé n’est pas un état, c’est un processus qui se déroule secondes après secondes.
Ce processus est le résultat d’une suite d’opérations biochimiques au sein de chacune de nos cellules.
Quand l’ensemble des opérations biochimiques initiées dans nos cellules sont réalisées,
on parle d’Activité Biochimique Cellulaire Optimale.
L’Activité Biochimique Cellulaire Optimale permet de prévenir les maladies.
Alors que l’industrie pharmaceutique développe des molécules permettant la prise en charge des maladies, les travaux de l’Institut Pierre Delbet permettent, grâce à l’expertise cellulaire, d’assurer leur prévention. La maladie ne se déclarant pas, il devient donc inutile de la soigner.
L’Institut Pierre Delbet développe des solutions permettant à l’organisme de gérer les attaques virales, microbiennes et toxiques, et de prévenir les dysfonctionnements métaboliques à l’origine de nombreuses maladies.
Coût minimal
Les coûts de la prévention n’ayant rien de commun avec ceux des traitements, une démocratisation mondiale de la santé est envisageable. En cela les travaux de l’Institut Pierre Delbet sont le socle d’une véritable révolution de la santé.
Constat
Aujourd’hui 3,1 milliards de personnes dans le monde, soit une personne sur deux, sont concernées par une maladie cardio-vasculaire, un cancer, le diabète, l’ostéoporose, la dépression, ou une combinaison de ces maladies. Selon l’OMS, 30% de personnes supplémentaires seront touchées en 2050.
Ces chiffres ne tiennent pas compte des maladies virales, bactériennes, de l’explosion des cas d’Alzheimer, de Parkinson, de sclérose en plaques, d’arthrose et de nombreuses autres maladies liées au dysfonctionnement du système immunitaire et à un déficit biochimique cellulaire.
L’incapacité de la médecine à stopper leur progression malgré les progrès réalisés par la science, l’importance des budgets consacrés à la recherche ainsi que la consommation toujours plus importante de médicaments indiquent que les orientations choisies ne permettent pas de résoudre ce problème majeur.
Chacune de nos 30 000 milliards de cellules connectées connaît parfaitement l’ensemble des processus biochimiques nécessaires à la maintenance de notre santé. Un seul impératif : leur fournir en quantité suffisante les micronutriments dont elles ont besoin pour exercer leurs compétences.
Droit
Les programmes développés par l’Institut Pierre Delbet permettent de réaliser cet objectif et minimisent de fait l’usage des médicaments et des soins, car les maladies liées au déficit biochimique cellulaire ne se déclarent pas.
Chacun devient alors l’acteur de sa propre santé, et le droit à la santé devient une réalité, et ce, quel que-soit ses origines et ses moyens financiers.